: Undefined variable $class in /homepages/0/d570158222/htdocs/festivaldulivredemarrakech.com/wp-content/themes/marrakech/header.php on line 15 Pas d’amour sans amour (Glyphe) Eva, célibataire de quarante ans, n’a pas fait l’amour depuis trois ans. Elle est belle, dynamique, sportive, branchée, mais les hommes se montrent quelquefois si décevants… Une comédie de mœurs drôle et décontractée, clin d’œil aux années quatre-vingt-dix. « Lorsque j’écrivais le scénario de Pas d’amour sans amour, je me sentais frustrée de ne pouvoir parler de la génération qui a lutté pour son indépendance sexuelle, sociale, intellectuelle. Les Chemins de Garwolin (Glyphe) Après le décès de son père, Sylvia Gutmanster se lance à vélo dans un pèlerinage à travers la Pologne, sur les traces d’une enfance qu’elle veut ranimer. Mais ce qui est demeuré invisible doit peut-être le rester. Pour elle, le passé revient et se mêle au présent. Les personnages d’autrefois, réels ou mythiques, lui répondent comme dans un jeu de miroir. Evelyne Dress est actrice : Et la Tendresse ? Bordel !, réalisatrice : Pas d’Amour sans Amour, écrivain : Pas d’Amour sans Amour, La Maison de Petichet, Les Tournesols de Jérusalem, Le Rendez-vous de Rangoon. La Maison de Petichet (Glyphe) Deux sœurs, Alma et Jessica – rivales mais inséparables, éprises de vérité mais capables de tous les mensonges –, sont unies au point d’aimer le même homme, Jacques. Un roman plein de vie, d’optimisme lucide. « Comme Alma, la narratrice, ma grand-mère hongroise avait une maison à Petichet, un hameau à 30 km de Grenoble. Nous nous y retrouvions chaque été pour des vacances en famille. J’étais toute petite et amoureuse du jeune homme du bout du chemin… L’autobiographie s’arrête là. » Evelyne Dress « La maison de Petichet est un roman qui se dévore et rend orphelin de ses personnages. » Nathalie Gendreau, PrestaPlume « Evelyne Dress ressuscite le mode de vie d’une époque où le romantisme avait toute sa place. » Marie-Claire, A bride abattue « C’est un roman qui nous parle avant tout d’amour, l’amour qui nourrit chacun des personnages du roman, qu’il soit familial, fraternel ou passionnel et charnel. » Culturevsnews
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Evelyne Dress
Réactiver ne va pas être facile, car, pour elle, « pas d’amour sans amour ».
Je suis heureuse de pouvoir avec le roman entrer dans le vif du sujet. »
Au terme de ce voyage, la voix intérieure, qui hante Sylvia depuis toujours, trouvera-t-elle enfin la paix ?
« Mes livres ne sont pas autobiographiques, dit-elle, mais j’aime me glisser dans la peau de mes personnages et aller vivre leur vie dans le pays que je leur ai choisi. A partir de là, vie réelle et fiction se télescopent… ».
Pour Les chemins de Garwolin, son cinquième roman, elle est partie du postulat qu’on ne sait rien de la vie de nos parents et qu’en disparaissant ils nous laissent démunis.
Au lieu d’inventer une histoire à son héroïne, Evelyne Dress a choisi de lui donner la sienne et celle de ses ascendants. Comme Sylvia Gutmanster, avant de commencer son récit, Evelyne Dress ne savait rien de la famille de son père. Comme elle, Evelyne est donc allée jusqu’en Pologne fouiller son passé, qui, au fond, était aussi le sien.
D’été en été dans la maison familiale, on rit, on pleure, on chante, on crie, on se jette tout à la figure, objets, insultes, « csardas », les remords valant mieux que les regrets.