La Guerre des langues (Collectif) (En toutes lettres)
Seize écrivains de langue française, arabe ou bilingues parlent du multilinguisme au Maroc et de ses enjeux sociaux, culturels, politiques : Yassine Adnane, Mohamed Bennis, Jalal El Hakmaoui, Abdou Filali Ansary, Zakia Iraqui-Sinaceur, Abdelmajid Jahfa, Mohamed-Sghir Sanjar, Salim Jay, Driss Ksikes, Abdellatif Laabi, Nabyl Lahlou, Fouad Laroui, Ahmed Farid Merini, Omar Saghi, Mustapha Slameur, Abdellah Taia.
L’Extrémisme religieux – Plongée dans les milieux radicaux au Maroc (En Toutes Lettres),
De l’école à l’université et de la ville à la campagne, en passant par d’illustres bidonvilles, le livre apporte un regard nouveau, détaillé et surtout dénonciateur quant à la réalité d’un phénomène grandissant et, à juste titre, inquiétant. Avec un temps d’analyse et un éclairage historique, «Extrémisme religieux» se place entre le reportage journalistique et l’essai sociologique. Une version arabe du même travail a été menée en parallèle par le journaliste arabophone Mohamed Sammouni.
Dos de femme, dos de mulet (En Toutes Lettres),
Les oubliées du Maroc profond : c’est le sous-titre évocateur du livre Dos de femme, dos de mulet (Editions En Toutes Lettres), qui lève un coin du voile sur la difficile condition d’une grande partie des Marocaines et les tabous qui lui sont associés. Les ouvrières clandestines de Mibladen, les torturées de Ksar Sountate, les barmaids de Casablanca… Ces femmes issues de milieux ruraux ne se connaissent probablement pas mais elles ont toutes un point commun : avoir été victimes de maltraitances, sous une forme ou sous une autre. De fait, selon une enquête nationale réalisée par le Haut commissariat au plan en 2010, 62,8 % des Marocaines ont vécu durant l’année précédant l’enquête un acte de violence, qu’il soit sexuel, physique ou moral.